05 avril 2006

L'adaptation cinématographique

En commencant par la vision de l'adaptation cinematographique du roman policier (hier), et en n'ayant pas encore lu le livre (Sophie me le passera demain), je me trouve dans l'incapacité de comparer l'adaptation et le roman. Je n'ai donc pas pu percevoir les dissimilitudes entre les deux éléments. Cela dit, l'adaptation m'a plu. Le film est assez court, d'environ une heure et vingt minutes. Ce qui m'a paru plutôt étrange en rapport avec la réalisation cinematographique de ce roman policier, est la dose d'humour assez présente tout au long du film. Cet humour est dû, en mon opinion, à la femme (ou petite amie, nous ne le savons pas) de l'inspecteur Wens, qui incarne le personnage d'une cantatrice fictive et quelque peu ratée... Grâce à son personnage, n0us découvrons une partie de la personnalité de l'inspecteur. Le fakir, l'un des suspects habitant l'auberge ou séjourne l'assassin, fait aussi l'objet de comique, en raison de son métier (tours de magie et autres). L'emploi d'humour détend l'atmosphère quelques fois angoissante de certaines scènes. Le principal de l'action se déroule dans cette auberge ou se trouve M. Durand, l'assassin jusqu'alors inconnu, au cartes de visites mystérieuses...

1 commentaire:

Stavroula Kefallonitis a dit…

Bien, je vois que les avis divergent au sujet de l'adaptation cinématographique. Il va y avoir débat : parfait ! Affûtez vos claviers !